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samedi 29 septembre 2012

Islam et Violence, y a t-il un lien?

Nicolai Sennels est un psychologue. De 2005 à 2008 il a travaillé dans le quartier des jeunes délinquants de la prison de Sonderbro à Copenhague. Il est l’auteur du livre « Parmi les criminels musulmans. L’expérience d’un psychologue à Copenhague », publié en 2008.
Il a eu a soigner plus de cent criminels musulmans.


Voici ses conclusions (que j'ai adpté) sur le lien entre la violence et la réligion - culture muslmane  

La colère:

a) La colère est la moteur de la plupart des types de violence, y compris le terrorisme. D'autres émotions et des idées pourraient être aussi  impliqués , mais la colère est presque toujours présente . Souvent c'est l'émotion dominante.

b) Les musulmans et la colère.

Pendant le traitement des musulmans violents, il est devenu clair que la colère et l'agressivité sont beaucoup plus souvent acceptées chez les musulmans.

Contrairement à la culture occidentale, les gens élevés dans les sociétés musulmanes voient moins dans la colère un signe de faiblesse que ne le font les non-musulmans. 

La colère est considérée comme un signe de force. C'est une source de respect - pas une cause de ridicule ni de perte de statut social comme c'est le cas dans la culture occidentale.

Par conséquent les musulmans ne répriment pas leurs émotions agressives au même degré que les occidentaux, ils voient les réponses pacifiques à l'agression comme un signe de lâcheté et de faiblesse qui peut être  exploitée d'avantage.



Une culture basée sur la dualité  Honneur/Honte :

a) Les cultures qui s'appuient sur le concept  d'honneur clanique ont tendance à engendrer des individus agressifs peu sûrs d'eux mêmes, prêts à utiliser la violence pour protéger l'honneur qui intrinsèquement est fragile.

b) L'honneur tient une place essentielle dans la culture musulmane. 

Les musulmans s'attendent d'eux-mêmes et de leur entourage musulman à réagir agressivement si, eux-mêmes ou ce à quoi ils s'identifient, ou qui les représente (famille, clan, région, culture, religion) est critiqué, attaqué, ou perçu comme tel.


Une mentalité victimaire:


a) Un moteur important chez la plupart des terroristes, y compris des terroristes musulmans, c'est une mentalité victimaire. Les gens se voient comme des victimes traitées injustement par des puissances hostiles. 

Ils voient souvent leur situation comme une excuse pour enfreindre la loi ou  pour enfreindre les normes sociales. Ils se sentent irresponsables de leurs actes (on est «forcé» par l'ennemi à agir violemment).

b) Se sentir soi-même comme étant sous l'influence de forces extérieures imaginaires ou réels, que ce soit Allah, des ennemis non-musulmans ou les règles religieuses et les traditions culturelles, est un état d'esprit ambiant dans la culture musulmane.




Identification à la religion ou à une communauté religieuse:

a) L'identification à une religion augmente la tendance à le prendre personnellement quand on perçoit que la religion est la cible d'attaques.

b) Mon expérience de travail avec les criminels musulmans, même si beaucoup d'entre eux ne pratiquent pas leur religion, c'est que les musulmans s'identifient très fortement avec l'islam et avec la communauté musulmane dans le monde entier. C'est pourquoi les criminels musulmans n'attaquent presque jamais d'autres musulmans - sauf s'il s'agit de gangs rivaux ou de femmes.

Responsabilité:

a) La capacité de se sentir responsable de ses actes est importante pour la capacité d'avoir un comportement positif. Moins un individu se sent responsable de ses actes, plus il sera susceptibles d'agir de manière inacceptable, car il ne se sentira pas coupable et donc ne méritant pas d'en subir les conséquences.


b) Une caractéristique déterminante de la culture islam et les musulmans, c'est le manque de responsabilité pour soi-même. Selon l'Islam tout se passe inshallah (si Dieu le veut) et la liberté individuelle est substituée par des règles religieuses, de traditions culturelles et par l'autorité de la famille et du clan. 

Les Musulmans obéissent  dans une large aux attentes de leur religion, de leur culture, de la famille et du clan. En conséquence le libre arbitre en tant que  tant que lieu intime du contrôle interne ( se savoir en contrôle de sa vie) est très faible, tandis que les facteurs de contrôle externe à soi sont  forts.

La religiosité :
a) Toutes les religions à travers l'histoire se ont révélés être en mesure de faire faire aux gens ce qu'ils n'auraient pas fait sans leur religion - que ce soit positif ou négatif.

b) Puisque le Coran et la culture dans la plupart des sociétés musulmanes prêche l'aversion (et dans certains cas, même la violence) contre les non-musulmans, le degré de religiosité des musulmans est un facteur important au moment de décider du risque de comportement violent. Une étude allemande avec des entretiens poussés avec plus de 40.000 personnes a conclu que la pratique de l'islam augmente la colère et le risque de comportement violent.

La capacité de ressentir un  Regret:

a) Etre capable de ressentir et d'exprimer des regrets pour ses propres mots et actions négatives est crucial, surtout lorsqu'il s'agit de déterminer le risque de récidive (commettre des crimes à nouveau après avoir purgé une peine ou une formation pour se conformer à la loi).

b) Une mentalité de victime et une faible responsabilité de soi-même est caractéristique des gens élevés dans la culture musulmane, le regret n'est pas fréquent. Si l'on ne prend pas la responsabilité de ses propres actes, l'on ne peut tout simplement pas vraiment les regretter, puisqu'un regret sincère nécessite  la conscience de son propre rôle dans le mal qui a été fait.


1 commentaire:

  1. Pitié, relisez-vous avant de publier des textes ou embauchez des personnes qui seront chargées de corriger les coquilles, les fautes de frappe et de style ! Je suis sans emploi, donc si ça vous dit de m'embaucher, je marche ! Le texte est très intéressant mais il est gâché par la négligence de la personne qui l'a publié. C'est très dommage !

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